Rome : des touristes (noirs) américains gravent leurs noms sur un pont de 2000 ans, interpellés par les habitants ils hurlent au racisme

La Rédaction
Démocratie Participative
14 août 2024

 

Le but de cet article est de démontrer au lecteur la nature destructrice de l’hominidé d’Afrique pour toute forme de culture ou de civilisation. 

Ce pont a résisté à la chute de Rome et à la seconde guerre mondiale, mais il ne résistera pas aux nègres, qu’ils viennent d’Amérique ou directement d’Afrique sous le regard bienveillant de Georgia Meloni.

Des touristes américains écrivent sur Ponte Sisto et se battent avec des jeunes romains qui tentent de les arrêter. Ils mettent ensuite en ligne des vidéos dans lesquelles ils dénoncent le racisme, affirmant que tout le monde le fait.

Construit par Agrippa en 12 avant notre ère, le pont actuel a été restauré par le pape Sixte IV en 1473, 19 ans avant que Christophe Colomb ne découvre l’Amérique.

Agrippa était le bras droit d’Auguste, le fils adoptif de César qui devint le premier empereur romain.

Sa structure faciale illustre bien que les Romains de l’époque n’avaient rien de commun avec ceux d’aujourd’hui. Outre les étrangers à proprement parler, un simple tour dans les rues de Rome suffit pour mesurer le nombre de terroni qui ont migré du sud de l’Italie, eux-même le produit de l’importation désastreuse de populations orientales sous l’empire dans le sud de la péninsule.

Qui peut croire qu’une espèce de maghrébin de Naples a quoi que ce soit de commun avec de tels hommes ?

Ce pont bimillénaire est indubitablement un ouvrage remarquable de Rome.

Mais c’est d’abord un pont oppressif qui rappelle la suprématie blanche.

Il est donc normal que les noirs d’Amérique viennent inscrire leurs glorieux noms sur ce legs raciste et ce aux frais de leurs esclaves blancs nord-américains.

Le gouvernement fasciste italien avait évoqué le sujet en 1944 alors que les troupes américaines approchaient de Rome, mais la bourgeoisie italienne – renforcée de son aristocratie et des hordes marxistes – préférèra le choix de la démocratie.

Les démocraties occidentales ont le sens des priorités.

Gagner une poignée de médailles aux jeux olympiques grâce à quelques nègres magiques ou écouter ces mêmes nègres vociférer du rap est bien plus important pour elles que de protéger les réalisations de ceux qui ont fondé les pays qu’elles exploitent.

Ou même leurs propres enfants, comme à Southport, en Angleterre.

Le cortège funèbre d’Alice Da Silva Aguiar se dirige vers l’église catholique Saint-Patrick de Sefton.

Alice était l’une des trois écolières tuées lors de l’attaque au couteau de Southport le mois dernier.

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