Shani Louk, l’Israélienne « exécutée » et « paradée » par le Hamas apparaît dans une photo sous la protection des blindés israéliens

La rédaction
Démocratie Participative
08 décembre 2023

 

C’est ce que l’on appelle un bug dans la matrice.

Vous vous rappelez forcément de Shani Louk, l’instagrameuse théoriquement assassinée par le Hamas.

Les juifs s’en sont servis à outrance pour faire pleurer les simps. Avec un grand succès, il faut dire.

C’était genre la giga pouf de soirée.

Et toutes les poufs s’identifient à elle.

La thèse officielle, c’est que le Hamas l’a assassiné avant de parader son corps devant les caméras.

Shani Louk quelques instants avant l’attaque du Hamas. Ils ont ensuite paradé avec son cadavre dans les rues de Gaza et les habitants ont souillé son corps

Shani Louk moments before the Hamas attack. Then they paraded with his corpse through the streets of Gaza and residents vilified her body pic.twitter.com/F7LsbryklI

— SOUL (@Soul221122) December 6, 2023

Il semble qu’en réalité, ce ne soit pas ce qui s’est passé.

Une photo a émergé où cette fille est cachée derrière un tank israélien. C’est une journaliste israélienne qui l’a publiée.

shani louk.#October7massacre#HamasMassacre#HamasTerrorists pic.twitter.com/HKCm41jgEq

— נועה מגיד | noa magid (@NoaMagid) December 7, 2023

Cette fille s’est donc trouvée sous la protection d’un blindé, aux côtés d’autres juifs. Elle n’a pas été capturée par surprise, exécutée, puis paradée. Elle a été tuée dans un échange de tirs entre cette unité blindée et le Hamas. L’armée juive a abandonné la position pour une raison inconnue et les militants du Hamas ont récupéré son corps. Ils l’ont ensuite envoyée vers un hôpital de Gaza pour confirmer sa mort et conserver son corps. Un corps a une valeur réelle politiquement, cela permet de proposer de les rendre par la suite lors de négociations.

Par ailleurs, tout démontre que le Hamas voulait surtout des otages, d’où l’insistance de ramener des prisonniers avec eux, y compris des blessés.

Deux semaines après le 7 octobre, sa mère a indiqué que sa fille était vivante, mais dans un état critique, à l’hôpital Beit Lahia de Gaza. Ensuite, l’armée juive a informé sa famille que Shani Louk était morte après la découverte d’un ossement de crâne qui « correspondait » à son ADN.

Ces juifs cachent beaucoup de choses sur l’intervention de leurs soldats ce jour-là. Au début ils disaient qu’ils n’étaient intervenus que cinq heures après le début de l’incursion, mais c’est faux. Ils sont arrivés beaucoup plus tôt.

Il est aussi avéré que des hélicoptères Apache israéliens ont fait un carton sur place sans distinguer les cibles. C’est ce qui explique ces nombreuses destructions de véhicules incompatibles avec l’armement léger utilisé par des hommes à moto.

Ce ne sont pas des déformations de carcasses automobiles générées par des AK47 ou des grenades.

A minima, ces officiers juifs ont fait n’importe quoi ce jour-là et tentent de se couvrir mutuellement en accusant le Hamas d’avoir tué tout le monde.

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