Thaïs ne veut pas assimiler les babouins : accident nucléaire chez les métèques et la droite fronssaise

La rédaction
Démocratie Participative
02 juin 2023

 

Pour une fois, Thaïs s’est rendue (presque) utile.

Sa dernière vidéo sur l’imposture que représente l’assimilation du tiers-monde a fait fondre un plomb à tous les ahuris de la droite café-au-lait.

Avec toujours le même pseudo argument : « Et nos fabuleux cailloux exotiques ? »

Et oui, pour ne pas perdre l’estime de cette poignée de cailloux et de leurs mulâtres dont Lilian Thuram est la plus belle perle, il faut céder à Monsieur Morselli, Italien, le droit imprescriptible des nègres à aspirer à la France.

Ce n’est même pas une aspiration, mais un boulotage en règle, si avancé, franchement, que les Blancs s’y font de plus en plus rares.

L’autre argument, attenant, « Et notre nègre de première classe ? »

Le singe Salvador, Mbappé chantant, causait français. C’est à peu près tout.

Et aussi, bien entendu, l’autre argument, « mais on est pas des boches, nous sommes des babouins ! »

Au vu de la mutation démographique française, c’est de plus en plus exact.

Apparemment, ne pas tomber d’accord avec les Allemands – ceux d’hier, pas les hippies écolo-déconstruits de la RFA – définirait par principe le comportement des Français face à la vie. Si les Allemands disent que le soleil se lève et se couche tous les jours, tout Français aurait le devoir de dire l’inverse, quitte à marcher à la fosse commune.

Concours de bites.

Si l’Allemagne d’hier disait, à raison, qu’il n’y a pas de nation sans nationalité, c’est-à-dire de nation sans race, le chauvinisme cocardier, en forme de défi, se doit de pontifier à propos de la nécessaire tâche civilisatrice qui consiste à déguiser des nègres en Français.

Autrement dit, inverser le cours naturel des fleuves et rivières pour démontrer au monde que le volontarisme révolutionnaire hexagonal peut venir à bout de tout et surtout de la vilaine Allemagne imaginaire.

Ceci dit, c’est exact quant au nationalisme français en tant qu’idée. Le nationalisme français est le produit de la révolution française, dont l’idée universaliste et égalitaire préfigure la révolution bolchevique. Le « citoyen » annonce le « camarade » soviétique.

Dire que le nationalisme français est intrinsèquement antiraciste est tout à fait exact. C’est pour cette raison que ce n’est pas un nationalisme, nation ayant pour racine le mot latin natio, dérivé de natus, « né de », mais un anti-nationalisme.

Le fondement du nationalisme français n’est pas la filiation, la naissance, mais la révolte contre la naissance, l’héritage et les déterminismes empiriques, l’allégeance à un projet politique millénariste qu’est l’égalité universelle. C’est une insurrection cosmopolite, trahison par nature, mais plus grave, contre la réalité.

La révolution a fait la France moderne et cette France est de gauche, consubstantiellement. Elle doit aller au bout de son processus de dilapidation. Il a commencé socialement, il doit finir racialement, par la chute vers le plus bas, le plus vil, le plus animal, c’est-à-dire le nègre.

Puisque les Allemands ont posé une limite spatiale et temporelle à leur nation en la bornant ethniquement, adressant ainsi la réponse définitive à 1789 et son échec catastrophique inévitable, la France révolutionnaire, c’est-à-dire la république, les deux n’étant qu’une seule et même chose, se doit d’exalter son antagonisme par tous les moyens pour ne pas perdre historiquement. La vanité chauvine génère ensuite les vocations.

La France est donc un droit de l’homme.

La « liberté » des révolutionnaires, c’est le bolchevisme guillotineur et la jalousie érigée en politique de gouvernement. On commence par guillotiner des aristocrates, on finit par éradiquer l’humanité supérieure, toujours au nom de la barbarie égalitaire, pour la remplacer par la lie des confins d’Afrique. Il suffit que les conditions soient réunies et la logique s’applique jusqu’au bout.

C’est la révolution française qui a consacré le principe odieux des parlementaires nègres et mulâtres, leur donnant pour la première fois dans l’histoire le pouvoir de disposer des destinées de l’homme blanc, renversant ainsi les lois de la nature édictées par le créateur.

En dépit de toutes les tentatives des Français opposés à la révolution pour détourner le nationalisme de son cours sans-culottard et nihiliste, avec son inévitable conclusion destructrice, cela n’a jamais marché.

Tant que toutes les ambiguïtés étaient permises, faute d’immigration de masse, l’utopie révolutionnaire, avec ses hallucinations démagogiques à prétention planétaire, pouvait mariner en France sans conséquences immédiates. Mais sitôt les circonstances réunies, l’idée corruptrice a fait son oeuvre, habilement récupérée par les juifs qui, sous couvert de l’héritage de Convention, ont pu mener leur guerre raciale contre l’autochtone hexagonal avec une impudence qui ne s’explique que par l’impunité conférée par le mythe désolant de 1789 qui continue de sidérer le troupeau démocratique.

La petite Thaïs, tout en s’y essayant à son tour poussivement, patauge dans la quadrature du cercle. Elle tente de sauver la nation française du nationalisme français.

En réalité, la question de la nation française est révolue, tout comme celle d’autres nations à l’agonie. Cette idée n’est plus opérative. Elle ne peut plus que dégénérer dans ses impossibilités, se caricaturer pour se survivre, mourant d’autant plus vite.

En France, il n’y a pas de nation sans révolution, de révolution sans état français, le même état français qui s’active à la destruction raciale des indigènes. Tout est cohérent, c’est la créolisation révolutionnaire qui unit égalitarisme et race en un seul bloc.

Essayer de sauver l’idée nationale, condamnée dès les fonds baptismaux, ne mènera qu’à des déconvenues, incompréhensions indépassables et des rejets. Elle est née avec la Convention et l’Égalité, elle ne peut que périr d’une overdose de nègres.

Les métèques, tout particulièrement, n’auront de cesse de revendiquer le legs de Robespierre, Marat, Saint-Just, Danton, Barère, pour légitimer leur parasitisme.

Le machin « européen » n’est pas plus convainquant. Il laisse trop de prise aux mêmes ambivalences et approximations, parce que trop géographisant. L’UE, avec son jacobinisme et ses droits-de-l’homme, est d’inspiration française et révolutionnaire depuis toujours. Les macaques auront tôt fait de se dire « européens », au prétexte d’avoir le cul assis en Europe.

En revanche, le mot « Blanc » interdit d’emblée tous les accaparements, les flous catastrophiques. C’est bien le combat racial qui détermine désormais le cours historique en Europe, celui qui recombine les camps, qui abolit la nation, devenue obsolète dans des pays libanisés racialement. Le racisme est une idée neuve en Europe.

Elle fait peur aux intrus.

Fédérer la race blanche d’Europe en un tout politique unique contre les réactions chauvines et cosmopolites, c’est le nouveau saut de conscience à opérer. Comme tout saut de conscience révolutionnaire, l’idée raciale ne peut qu’entraîner des réactions indignées à « droite » comme à « gauche », les deux étant les héritières de l’ère révolutionnaire française qui s’achève. La droite réactionnaire continuera d’agiter son grigri « nationaliste » inopérant, tandis que la gauche anti-indigènes excipera sa république, voire son tricolore, contre les autochtones révoltés.

Deux siècles d’abrutissement, cela se paye.

Et d’infiltration aussi.

Mais tu n’es pas blanc, Claude, tu es un parasite hébraïque et la solution, justement, c’est la Pologne.

L’idée raciale sépare et c’est ce qu’il faut : séparer.

Elle va tout recombiner, inexorablement, dialectiquement, à mesure que le choc avec l’Afrique débordante et l’islam expansionniste s’intensifie et que les traîtres trahissent.

C’est la guerre raciale qui va restaurer la hiérarchie et avec elle, les hiérarques. Aristocratie du sang et du sol.

On reconnaît une idée révolutionnaire à l’intensité de la résistance qu’elle entraîne chez les couches réactionnaires qui dépendent du maintien de l’ordre ancien. Il n’y a que l’idée raciale qui dispose de cette puissance. Elle terrifie les démocrates, les faibles et les dégénérés, ce qui n’est qu’un seul et même bloc historique.

Puisque l’idée égalitaire, au sens pleinement politique et historique, est née en France en 1789, c’est là aussi qu’elle doit venir crever. Son cycle touche à sa fin et nous avons le privilège d’être ceux qui devons l’enterrer. Nous sommes aux avant-postes. La conséquence pratique de l’idée raciale, c’est la destruction de l’état post-national, pas son amendement ou sa réforme illusoire.

La swastika va oblitérer le bonnet phrygien et Marianne, putain aux traits créoles, terminera dans le caniveau d’où elle est sortie.

Le bloc euro-occidental carolingien doit entreprendre une nouvelle marche en avant. C’est le siècle de la race contre la masse.

Souffler sur les braises de la révolution raciale, diffusez nos tracts !