Tienanmen : une révolte nationaliste contre les étudiants noirs violeurs de chinoises

La rédaction
Démocratie Participative
04 juin 2023

 

Aujourd’hui, les PNJ commémorent le « massacre de Tienanmen ».

Théoriquement, il s’agissait d’un « soulèvement étudiant pro-démocratie » contre le système maoïste-communiste chinois.

Ces deux antifas tatoués à l’hygiène effrayante en disent plus à la télévision d’état française.

Ça, c’est la version gay pour les goyim.

En réalité, les émeutes d’avril 1989 trouvent leur origine dans les manifestations raciales contre les étudiants noirs de décembre 1988.

Oui, vous avez bien lu.

Les premiers troubles eurent lieu à Nanjing, à Noël.

Littéralement Wikipédia :

Le 24 décembre 1988, deux étudiants africains entrent sur le campus de l’université Hohai à Nanjing en compagnie de deux Chinoises. Il s’agissait d’un réveillon de Noël. Une querelle entre l’un des Africains et un agent de sécurité chinois, qui avait soupçonné que les femmes que les étudiants africains tentaient d’amener sur le campus étaient des prostituées et leur avait refusé l’entrée, a entraîné une rixe entre les étudiants africains et chinois sur le campus, qui a duré jusqu’au matin, faisant 13 blessés.

300 étudiants chinois, poussés par de fausses rumeurs selon lesquelles un Chinois avait été tué par les Africains, sont entrés par effraction dans les dortoirs des Africains et ont commencé à les détruire en criant des slogans, notamment en mettant le feu aux dortoirs des Africains et en les y enfermant. Le président de l’université a dû ordonner aux pompiers d’intervenir.

Après la dispersion des étudiants chinois par la police, de nombreux Africains ont fui vers la gare afin de se mettre à l’abri dans les différentes ambassades africaines à Pékin. Les autorités ont empêché les Africains de monter à bord des trains afin d’interroger les personnes impliquées dans la rixe. Bientôt, leur nombre est passé à 140, car d’autres étudiants étrangers africains et non africains, craignant la violence ou simplement par sympathie, sont arrivés dans la salle d’attente de première classe de la gare pour demander l’autorisation de se rendre à Pékin.

À ce moment-là, des étudiants chinois de l’université de Hohai se sont joints à des étudiants d’autres universités de Nanjing pour former une manifestation de 3 000 personnes appelant les autorités gouvernementales à poursuivre les étudiants africains et à réformer le système qui accorde aux étrangers plus de droits qu’aux Chinois. Dans la soirée du 26 décembre, les manifestants ont convergé vers la gare ferroviaire en brandissant des banderoles réclamant le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. La police chinoise a réussi à isoler les étudiants non chinois des manifestants et les a emmenés de force dans une maison d’hôtes militaire à Yizheng, à l’extérieur de Nanjing. Les manifestations ont été déclarées illégales et la police anti-émeute a été amenée des provinces environnantes pour pacifier les manifestants, ce qui a pris plusieurs jours.

Les étudiants africains et leurs sympathisants ont été transférés de Yizheng à une autre maison d’hôtes militaire plus proche de Nanjing la veille du Nouvel An, et ont été renvoyés dans leurs universités le lendemain.

Les étudiants de Pékin descendirent dans la rue à la suite de ceux de Nanjin, qui voulaient protéger les étudiantes chinoises des noirs que le gouvernement maoïste formaient dans ses universités pour répandre le maoïsme en Afrique.

Quand les Chinois manifestent pour les droits de l’homme, c’est au sens strict.

Ils n’en pouvaient plus de voir des singes être traîtés comme des hommes au point de s’approcher des femmes chinoises en toute impunité au nom du marxisme international.

La suite, ce sont des lynchages de noirs en règle et la multiplication des troubles raciaux avec de virulentes accusations contre le gouvernement communiste par les étudiants nationalistes.

Les relations des Africains avec les femmes chinoises ont également suscité un vif ressentiment. En 1986, une « association d’étudiants chinois » anonyme avait envoyé cette lettre à toutes les ambassades africaines à Pékin :

Nous marchons vers notre grand but sur une large route qui ouvre sur le monde civilisé. Cela ne veut pas dire, en revanche, que nous allons nourrir l’Afrique inculte avec les résultats de nos efforts et que nous autoriserons n’importe quel Nègre à tourner autour de nos universités pour ennuyer les filles chinoises et introduire sur nos lieux académiques les manières acquises par la vie dans les forêts tropicales, offensant notre hospitalité traditionnelle et notre grande ouverture d’esprit. S’il n’y a pas de correction dans le comportement des étudiants noirs, de nouvelles et plus dures leçons de « fraternité » suivront. Elles seront modelées sur l’expérience des Américains qui savent très bien comment calmer les Nègres dans leur pays.

Les protestations – et d’autres rumeurs non fondées sur des attaques d’Africains – s’étendent à d’autres villes. 2 000 étudiants chinois ont organisé une marche anti-africaine à Pékin et des manifestations plus modestes ont eu lieu à Shanghai et à Tianjin. Des rapports font état de violences collectives à l’encontre d’Africains à Wuhan.

Les manifestations anti-africaines ont incité les étudiants à descendre dans la rue pour protester contre les autorités, ce qui a ouvert la voie aux manifestations de Tiananmen quatre mois plus tard. En fait, certains organisateurs de manifestations anti-africaines à Pékin se seraient également organisés pendant le mouvement de Tiananmen.

Lol

Comme vous le constatez, peu importe le nègre pose son large cul il fait toujours la même chose : violer.

Si ces étudiants avaient eu le dernier mot, la Chine serait encore plus raciste qu’elle ne l’est aujourd’hui – ce qui ne serait pas une petite réalisation.

Célébrons donc Tienanmen, grande révolte anti-communiste, anti-nègres, pro-ségrégation, férocement raciste, contre le péril négroïde et pour le progrès !

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