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La Rédaction
Démocratie Participative
11 juillet 2024
Mayotte, précédemment : à Rennes, un pédophile de Mayotte viole une lesbienne
Les fans (et électeurs) de Marine Le Pen font décidément des étincelles en métropole.
Un homme qui attendait un bus dans le centre-ville de Toulon a été agressé au couteau dans la soirée de ce jeudi, a-t-on appris ce lundi à l’audience du tribunal correctionnel. Jugé selon le mode de la comparution immédiate, son agresseur a été condamné à cinq ans de prison dont un an assorti d’un sursis probatoire.
Les circonstances de ces faits sont restées relativement floues. Quand les policiers sont intervenus, vers 21h40 à hauteur de l’arrêt Champ-de-Mars (boulevard Clemenceau), la victime avait « une cheville quasiment arrachée avec le tibia à l’air libre ».
Le préjudice de cet homme, qui devra rester hospitalisé de longues semaines, a été évalué à au moins cent jours d’incapacité totale de travail (ITT). Ni la vidéosurveillance, ni l’enquête de voisinage n’ont apporté d’éléments susceptibles d’éclairer les enquêteurs.
Le prévenu, SDF âgé de 22 ans, n’a pas été en mesure d’expliquer son comportement sinon par une consommation de drogue et d’alcool (plus de 2,5g/l de sang mesurés) ainsi « qu’une tendance à être parano », selon son avocate.
Un expert a dépeint des traits psychopathiques sans altération du discernement. Le mis en cause a confié avoir quitté l’île de Mayotte en 2020 pour fuir le climat d’extrême violence qui règne dans ce département français.
Je dirais que c’est plutôt pour importer ce climat d’extrême violence.
Sous le choc, la victime s’est souvenue avoir refusé une cigarette avant qu’une bagarre éclate. L’homme se rappelle également, alors qu’il était au sol, avoir tenu les poignets de l’agresseur qui brandissait un couteau. Une version corroborée par deux témoins. « Si j’avais lâché, je serais mort« , a-t-il déclaré.
« Il a sorti cette arme mais c’était sans intention de porter des coups, c’était pour éviter de se faire castagner parce que l’autre avait une carrure plus importante », a plaidé l’avocate du prévenu. « L’ITT importante [de la victime] n’est pas liée à des coups de couteau mais à sa chute. »
À sa sortie de prison, l’agresseur devra suivre des soins pendant trois ans dans le cadre du sursis probatoire ordonné par le tribunal.
Je ne suis pas sûr que l’on puisse guérir l’ADN mahorais avec des soins, même pendant mille ans.
En tout cas, j’ai la ferme intention de documenter avec méthode et application les hauts faits de nos compatriotes mahorais qui, je le rappelle, ont toute liberté, en tant que Français de plein droit, de venir repeupler la France.
Je rappelle aussi que les seules personnes qui ont manifesté un semblant de bon sens sur cette question sont les Russes et les Allemands.
Les Français, dans leur majorité, perdent la raison dès qu’il est question de ces cailloux qui dégueulent leur immonde populace en France.
Envers et contre tous, nous maintenons ici le cap sur l’impossible : l’indépendance de Mayotte et la fin de l’empire domien.
Et tant pis si un souverainiste fanatisé décide de mener un attentat-suicide contre nous.
Livrés à eux-mêmes, les Gaulois semblent incapables de faire autre chose que de plonger leur pays dans une lutte fratricide perpétuelle, quitte à utiliser des supplétifs du tiers-monde pour prendre l’ascendant sur leurs rivaux. Et cela vaut également pour la droite qui continue de bâtir des châteaux en Espagne, mais à Mayotte.
L’enjeu est bien d’éveiller le racisme chez la partie de la population blanche qui en est encore capable, et d’appeler au fascisme, c’est-à-dire à une forme de gouvernement débarrassée des lubies démocratiques mortelles, pour mener une politique de nettoyage et d’ordre. Si ce n’est sur tout le territoire, du moins partout où cela est possible.
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