Toulouse : « Comment ça se fait qu’en 2024, quand tu es une nana, tu ne peux pas marcher dans la rue sans te faire accoster, siffler, insulter ? »

La Rédaction
Démocratie Participative
26 septembre 2024

 

Alors en 2024, je ne sais pas, mais à Toulouse en l’an 1446 de l’Hégire, la piste du réchauffement ethnique n’est pas à écarter.

D’ailleurs, puisqu’il est question de diversification ethnique, je tiens à attirer l’attention du lecteur sur le fait que la jeune femme qui se plaint du succès affectif qu’elle rencontre dans les rues toulousaines n’est pas française, comme son phénotype le révèle. Nous sommes face à une barbaque mystérieuse, a priori hispano-gitane – peut-être mâtinée d’une petite cuillerée de sang séfarade.

Ou alors du péruvien.

C’est que justement Toulouse ne serait pas devenue la place forte antifasciste que l’on sait sans la gigantesque vague d’Ibères rouges venus faire souche après la libération de l’Espagne par le général Franco.

L’Espagne y aura gagné un certain repos de l’esprit et nous des maux de tête.

Très hostiles aux Français qui les avaient accueillis, ces rouges espagnols ont méthodiquement aimanté tout ce que la Méditerranée pouvait régurgiter de métèques : juifs d’Algérie, désormais établis en une puissante colonie, Maghrébins travaillés par la fièvre djihadiste, agioteurs libanais, Tziganes diseurs de bonne aventure et même nègres d’Afrique qui pullulent ces derniers temps.

Intégralement reprise en mains par l’Ibérie militante, environ 200 nationalités y croupissent à présent dans un jus écrasé par l’implacable soleil méridional.

Le maire de la ville, Jean-Luc Moudenc, est d’ailleurs chef coutumier d’un obscur village de Côte d’Ivoire.

Et puisque j’en suis à mes méditations raciales, qui croirait, chez les Français, que Toulouse fut jadis l’avant-poste du monde germanique face à la marée afro-orientale ?

Certes pas les mangeurs de Boches souverainistes, ennemis résolus du monde blanc.

Gouvernée d’une poigne d’acier par l’élite nordique, comme le reste de la Gaule, Toulouse, capitale de l’Aquitaine, résista victorieusement aux assauts des bogmoules lors du siège de 721. C’est Eudes, Gauleiter blond aux yeux bleus d’Aquitaine, qui sauva la capitale de la submersion raciale.

Treize siècles plus tard, la situation a radicalement changé et les gitanes ne peuvent plus sortir le soir sans se faire siffler par les blédards.

Sans les Blancs, l’Aquitaine va de l’avant.

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