Tours : la femme blanche Natacha Polony aux côtés du Grand Orient et du maire écolo-déconstruit pour célébrer le Nouvel Ordre Mondial

La rédaction
Démocratie Participative
05 juin 2023

Pas négligée la Polony qui se pointe en débardeur et pantalon de babos

Polony continue d’émarger en captant l’héritage de la vieillerie laïcarde.

La Nouvelle République :

À l’occasion du 250e anniversaire du choix de sa dénomination, le Grand Orient de France organisait une conférence publique samedi 3 juin 2023, à Tours. L’occasion de lever le voile sur la franc-maçonnerie.

« Institution vénérable ayant un rôle essentiel dans la franc-maçonnerie », « lieu où les esprits les plus éclairés se sont rassemblés », le Grand Orient de France (GODF) est aussi pour le maire de Tours un « bastion de la liberté, de la tolérance et de la fraternité […] indissociable du parcours de certains Tourangeaux ».

Emmanuel Denis accueillait avec ces mots élogieux la conférence publique organisée par le GODF à la salle des fêtes de l’hôtel de ville, samedi 3 juin 2023. Elle se déroulait dans le cadre du 250e anniversaire du choix de la dénomination de cette obédience maçonnique se présentant comme la plus importante de France, avec plus de 51.000 membres.

Le maire de Tours est un agitateur écolo-déconstruit, soutien de Piolle, le fou de Grenoble.

Ce qui se voit avec sa mouche sous la bouche.

Il est parvenu au pouvoir grâce au TGV Paris-Bordeaux. La flopée de bobos qui s’est établie dans la ville a permis aux écolo-gauchistes de prendre la mairie.

Les nostalgiques de la Terreur du Grand Orient ont l’air de filer le parfait amour avec les nouveaux Sans-Culottes wokistes.

En présence de quelque 300 personnes, Pierre Mollier, historien et conservateur du musée de la franc-maçonnerie, Georges Sérignac, grand maître du GODF, et Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne, ont échangé sur le thème : « La franc-maçonnerie d’hier à demain, entre tradition et modernité ».

Avec parmi les objectifs : « démystifier la franc-maçonnerie et tordre le cou aux théories complotistes ».

« Extérieure » à l’organisation, Natacha Polony a évoqué son rapport à la franc-maçonnerie. « Ma première rencontre a été possible grâce à l’ORTF ! Et au personnage d’Alexandre Dumas : Joseph Balsamo. J’étais très jeune et j’ai retenu qu’au 18e siècle des hommes s’étaient réunis dans une société secrète pour abattre la tyrannie. »

Ha !

Natacha Polony a ensuite évoqué ses rencontres maçonniques lors de son engagement en politique au côté de Jean-Pierre Chevènement, en 2002. « Plus tard, journaliste, j’ai découvert un autre visage de la maçonnerie grâce à mon mari, Périco Légasse… » Elle parle alors du Chinonais Jacques Puisais, « figure de sagesse » et créateur de l’Institut du goût.

La république judéo-cassoulet.

Voilà une bouche qui mériterait une étude généalogique très serrée

Dans sa présentation générale, le grand maître du GODF a notamment mis en avant les valeurs portées dont celle de la laïcité, la « filiation des Lumières » et les aspirations « d’améliorer la société ».

On voit le résultat de cette « amélioration » après 250 ans de subversion.

Il suffit de sortir dans les rues de Tours.

Mais au moins, ils ont une parade de pédophiles et de gouines.

Georges Sérignac a ensuite été invité par plusieurs spectateurs à entrer dans le concret d’une loge. De son recrutement à son fonctionnement. « La franc-maçonnerie est ce qu’elle est. Sa méthode de travail n’est pas adaptée aux situations d’urgence. Il y existe des associations ou des partis politiques pour cela, a-t-il notamment expliqué. La franc-maçonnerie reste une vraie aventure humaine. »

« Je suis venue pour la personnalité de Natacha Polony. Elle parle toujours très bien. Mais là, elle ne s’est pas beaucoup exprimée », a confié à l’issue des plus deux heures d’échanges une spectatrice. Si elle ne fait pas partie d’une loge maçonnique, elle connaissait déjà bien l’institution de par son mari, frère. « Il avait besoin de donner un sens. De réfléchir, un peu comme on fait de la philosophie… »

Cette question du « sens » est d’ailleurs peut-être ce qui explique le regain d’attractivité que connaîtrait l’obédience. « Nous avons une moyenne d’âges assez élevée mais nous constatons un certain renouveau depuis deux ans avec des entrées de personnes de moins de 35 ans », saluait le grand maître.

Le GODF a plus de 250 ans et l’avenir devant lui.

Non, c’est un club de boomers atteints d’Alzheimer, fanatiquement enjuivés.

En tout cas la garce Polony soigne ses réseaux et ses rentrées d’argent. Cette bécasse s’est créée une rente de situation sans rien dire de pertinent en 20 ans de présence médiatique.

C’est assez extraordinaire quand on y pense.

Mais c’est surtout quand on imagine Polony avec le vermicelle du gros Légasse dans la bouche que l’on arrive plus à la prendre au sérieux.

Le Forum EELB sera prochainement de retour