Un cartel de juifs obtiennent de Macron que le terroriste rouge arménien Manouchian soit foutu au Panthéon

La rédaction
Démocratie Participative
17 juin 2023

 

Décidément, moi qui parlais du fléau arménien hier à propos de Marseille.

Le « Château de ma mère » de Pagnol transformé en truc social pour Algériens par la mairie islamo-woke de Marseille 

Macron doit lire notre média, c’est impossible sinon.

Le Parisien :

Le projet était dans les tuyaux depuis des mois. Il est maintenant officialisé. Avant la traditionnelle cérémonie du 18 juin au Mont-Valérien (Hauts-de-Seine) en présence d’Emmanuel Macron, consacrée cette année à « l’unité des mémoires de la Résistance », l’Élysée doit annoncer sobrement dimanche matin, par la voie d’un communiqué, l’entrée au Panthéon du résistant Missak Manouchian.

Né en 1906, ce poète arménien a été fusillé au Mont-Valérien, le 21 février 1944. Et c’est justement le 21 février 2024, 80 ans plus tard, qu’il recevra l’hommage suprême de la nation. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Missak Manouchian fut présenté sur la célèbre « affiche rouge » de la propagande, placardée massivement par les Allemands, comme le chef de l’« armée du crime ».

Le métèque arménien Manouchian était un pur assassin aux ordres des juifs du Komintern, le réseau terroriste international piloté depuis Moscou par les juifs.

Sa tâche, comme celle de tous les tueurs du Parti Communiste : préparer le coup d’état révolutionnaire devant faire de la France une république soviétique juive.

L’épouvantable visage racial du génocide de vos enfants

On ne compte plus le nombre de Français que cet immigré et ses acolytes juifs, préfigurant les égorgeurs djihadistes, ont exécuté aveuglément pour les besoins de la révolution juive mondiale.

« Les jours heureux » comme dit Fabien Roussel.

Des centaines de tués, des milliers de blessés.

Cet assassin a logiquement trouvé sa place dans le temple du régime, lui-même férocement engagé dans la destruction de la population blanche indigène.

« Manouchian, c’est un étranger qui a fait le choix du cœur pour la France », salue un des promoteurs du projet. Une thématique chère au chef de l’État : en 2021, il avait panthéonisé Joséphine Baker, artiste et résistante d’origine américaine. La figure de Manouchian est célébrée sur tout l’échiquier politique.

En effet, puisque cet échiquier est le résultat du putsch gaullo-communiste de 1944.

La révolution démographique actuelle est la phase terminale de ce putsch juif.

La droite gaulliste représentée par le cul béni Retailleau, sbire de Villiers, est extatique.

La gauche salue l’ancien résistant communiste, membre des FTP-MOI (Franc tireurs et partisans – main d’œuvre immigrée). « Avec lui entre la mémoire de la résistance communiste, qui jusqu’à présent n’était pas mise à l’honneur en soi au Panthéon », explique un conseiller. À droite, on salue également la destinée du poète : « Missak Manouchian, c’est un Arménien qui a trouvé en France un foyer. Il exprime de façon admirable cette trajectoire de l’assimilation, souligne le patron des sénateurs Républicains Bruno Retailleau. Il s’est toujours senti arménien et français. Cette entrée a un sens au moment où l’Arménie n’a jamais été autant menacée. »

Ce papiste mielleux, plus que jamais du côté du marxisme incendiaire et de l’immigration sauvage, justifie cette imposture par l’obsession arménienne propre aux fous de la croix.

Il faut être très clair : les Arméniens doivent payer et la droite judéo-chrétienne doit être brisée avec eux.

Ces envahisseurs sournois, le cul en jérémiades et le surin en poche, juifs synthétiques, doivent se voir présenter une facture à la hauteur de leur influence catastrophique depuis un siècle en France.

À destruction raciale, destruction raciale et demie.

L’anéantissement de l’Arménie par les Musulmans est une mesure de salubrité publique. La Turquie a un rôle majeur à jouer dans la liquidation de ce problème qui n’a que trop traîner.

C’est d’autant plus vital qu’on ne peut jamais séparer les Arméniens des juifs, les deux hordes de parasites ayant noué une alliance infernale contre l’homme blanc.

Autant dire que sa panthéonisation en février ne fera lever aucun sourcil quand il rejoindra Victor Hugo, Jean Jaurès ou Jean Moulin. « S’il y a bien quelqu’un qui mérite d’y entrer, c’est lui », explique Jean-Pierre Sakoun, à l’origine du dossier de candidature.

Sakoun. Juif d’Algérie.

Et, à ce titre, adepte du génocide de la race blanche en France grâce à l’immigration totale.

On comprend qu’il a pensé toute cette affaire d’immigrés antifas au Panthéon pour signifier que le Grand Remplacement doit aller jusqu’au bout.

« Tout le monde pensait que François Hollande l’annoncerait en 2014, mais il s’en était tenu à quatre résistants. Pour beaucoup, l’absence de Manouchian avait été une énorme surprise et plus encore, une occasion ratée », regrette le président d’Unité laïque, une association de promotion et de défense des principes républicains.

Unité laïque.

C’est fou ce que ces rabbins sont laïques.

En 2021, Sakoun créé un comité de parrainage au spectre large, puisqu’il intègre la petite-nièce de Manouchian, Katia Guiragossian, l’historien Denis Peschanski, spécialiste de la Résistance, le sénateur (PCF) Pierre Ozoulias ou le maire (LR) de Valence Nicolas Daragon. D’autres figures s’y agrègent comme le cinéaste Robert Guédiguian, l’essayiste Alain Minc ou plus récemment, le chanteur Patrick Bruel, familier de « la place des Grands hommes ».

Vendredi après-midi, quatre d’entre eux ont été reçus plus d’une heure par Emmanuel Macron à l’Élysée. Tous en sont ressortis « extrêmement optimistes », après des mois d’attente fébrile. « Il a été très à l’écoute, et connaissait le dossier sur le bout des doigts », confie l’un des participants. Denis Peschanski, qui était également à l’Élysée, insiste sur la « parfaite harmonie de vue » avec le chef de l’État. « Manouchian incarne à ses yeux et aux nôtres une convergence mémorielle. Il est survivant du génocide arménien, communiste, résistant, et étranger amoureux de la France et des valeurs universalistes qu’elle porte depuis la Révolution comme patrie des Droits de l’Homme », souligne l’historien.

Ces valeurs cosmopolites, sans-frontiéristes, vagabondes, si propices à la prospérité du parasite juif, sont effectivement indissociables de cette république juive.

On comprend que le juif Denis Peschanski et son nez y trouvent leur compte.

Un autre participant abonde : « Le fait que Manouchian ne soit pas français n’est absolument pas un obstacle. C’est visiblement déterminant à ses yeux qu’un étranger, qui a versé son sang pour défendre la France et ses idéaux, y entre. » Ce qui n’était pas arrivé depuis plus de deux siècles puisque Joséphine Baker avait aussi la nationalité française.

Missak Manouchian ne sera pas seul à entrer dans le saint des saints républicains. Mélinée, sa femme, enterrée comme lui au cimetière d’Ivry, accompagnera le grand résistant le 21 février. Elle aussi rescapée du génocide arménien, avait rencontré Missak au Liban où ils étaient tous les deux réfugiés. Et c’est ensemble qu’ils prendront la route de la France en 1925, ensemble qu’ils rejoindront le parti communiste en 1934 avant de se marier deux ans plus tard.

« Saints républicains ».

Je crois qu’on ne peut pas mieux résumer le parcours de deux bêtes sauvages levantines implantés en France qui entreprennent aussitôt de rejoindre les rangs de la révolution juive mondiale pour y semer le chaos.

C’est aussi à elle qu’il écrira sa dernière lettre, bouleversante, alors qu’il s’apprêtait à rejoindre le peloton d’exécution. « Nous allons être fusillés cet après-midi à 15 heures. Cela m’arrive comme un accident dans ma vie, je n’y crois pas mais pourtant je sais que je ne te verrai plus jamais… »

Avec lui entreront aussi — symboliquement cette fois — ses 22 camarades du groupe de FTP-MOI qu’il dirigeait lorsqu’ils ont été filés puis arrêtés par la police française, avant d’être livrés à leurs bourreaux nazis. Avec leur arrestation en novembre 1943, tombe le dernier grand groupe de la lutte armée à Paris.

Honneur à la police pro-allemande, honneur à la Gestapo, honneur à la SS !

Parmi ces 23, les Allemands choisiront dix visages pour figurer sur l’Affiche rouge, destinée à les faire haïr de la population française. La propagande échoue mais la légende est en marche : en 1959, Léo Ferré chantera l’Affiche sur un poème de Louis Aragon, contribuant un peu plus à faire entrer le groupe Manouchian dans un autre Panthéon : celui de la culture populaire.

L’affiche a très bien marché.

Les Français victimes des égorgeurs juifs sachant à quoi s’en tenir.

Effectivement, la France « libérée » par l’armée du crime est aujourd’hui une immonde fosse septique afro-orientale !

C’est après le putsch gaullo-communiste de 1944 que la propagande a véritablement commencé.

Cela commence avec un vieil anarchiste fou chantant les vers délirants d’un écrivaillon stalinien.

Cela se termine avec Manouchian et une nuée de Gilets noirs au Panthéon.

Ainsi va le judaïsme révolutionnaire sur les cadavres des peuples dont il se nourrit.

Dimanche matin à 10h30, Emmanuel Macron se rendra — une première pour lui — dans la clairière des fusillés, où Missak et ses lieutenants, tous étrangers, la plupart Juifs, ont été mis en joue par les nazis. « Manouchian, c’est le symbole des symboles, note Peschanski. À travers lui, la nation reconnaîtra l’action héroïque des étrangers, qui étaient surreprésentés dans la résistance ». En écho à sa panthéonisation résonnera cette phrase, que Manouchian l’apatride avait jetée à la face de ses geôliers français, lors de son procès : « Vous avez hérité de la nationalité française, nous l’avons méritée. »

L’arrogance du métèque est proverbiale. À peine arrivé, le voilà qui toise de haut le paysan celte établi depuis 25 siècles dans le pays qu’il a édifié génération après génération.

Cette mise en scène est une déclaration de guerre raciale en parfaite conformité avec l’idée révolutionnaire de 1789 et de d’octobre 1918.

Le juif homosexuel du Parti Communiste Brossat corrobore.

Et puisqu’on parlait de Marseille, de ses métèques et de ses Arméniens, le maire actuel le confirme également : la libération de la France de l’occupation blanche est en marche.

Il faut savoir écouter quand l’ennemi racial parle.

Cet état « français » n’est qu’une machine juive déterminée à aller jusqu’au bout de l’éradication des Blancs. Personne ne viendra miraculeusement vous sauver de cet état criminel, ni de ses juifs. Si vous restez zoner chez vous, si vous êtes plus préoccupé par vos congés payés ou votre pavillon et vos loisirs que par votre survie raciale, vous êtes déjà fini. Il est même inutile d’avoir des enfants à votre échelle, ce serait les livrer aux bêtes sauvages immigrées que l’état juif importe pour les tuer.

Vous devez vous lever le matin en pensant à la révolution et vous couchez le soir en pensant à la révolution, celle qui doit aboutir à la destruction de l’ennemi. Pas de compromis, pas de discussion : l’anéantissement de tout ce qui nous est opposé, voilà le but.

Comme vous avez vu, le régime juif peut tranquillement canoniser des égorgeurs communistes venus depuis leur Moyen-Orient natal assassiner des Français sans craindre de « diabolisation », bien au contraire. La bête judéo-marxiste domine Paris, qui est en fête.

Notre erreur est notre modération. Seule la radicalité paie.

On ne peut riposter contre ce démon que par des armes plus formidables encore et ces armes n’ont rien à voir avec ce pauvre petit fanion tricolore des homosexuels du souverainisme. Montez vos unités de propagande raciste autonomes, organisez partout le réveil racial des Blancs. Diffusez nos tracts, oeuvrez à la guerre raciale totale. Encore et toujours, sans vous fatiguer, sans vous lasser, sans excuses pour tire-au-flanc. Travaillez, travaillez, travaillez, matin, midi et soir, animé d’une haine de feu, jusqu’à la victoire.

Vous aurez une éternité entière pour dormir, une fois au fond du trou.

Le reste, ce sont des contines pour les enfants.

Diffusez nos tracts pour la révolution raciale