« Un flic, une balle » : une étudiante gauchiste libérée par les juges qui ne savent pas dire s’il s’agit « d’un appel au meurtre »

La rédaction
Démocratie Participative
27 septembre 2023

Étienne Manteaux, procureur, n’aime pas les flics racistes

J’ai mal à mon racisme systémique.

Où sont mes juges fascistes ?

Actu17 :

Le parquet de Besançon (Doubs) a annoncé ce mardi le classement sans suite de l’enquête concernant une jeune femme de 20 ans qui avait brandi une pancarte avec l’inscription « Un flic, une balle », lors d’une manifestation « contre les violences policières », samedi dernier. L’affaire avait provoqué une vive polémique et incité le préfet du Doubs, Jean-François Colombet, à saisir le procureur de la République sur la base de l’article 40.

La mise en cause, étudiante à l’université de Franche-Comté, a été interpellée ce mardi matin. Après son interrogatoire, le procureur, Étienne Manteaux, a décidé de ne pas poursuivre la jeune femme pour « apologie de crimes d’atteintes volontaires à la vie », mais uniquement pour « participation à une manifestation en ayant le visage dissimulé ». « À l’issue du mouvement le 23 septembre, les policiers ont mis en évidence que cette personne s’est démasquée à l’issue de la déambulation », a précisé le magistrat à L’Est Républicain.

Selon le procureur, pour être reconnu coupable d’apologie de crime, « il faut un élément matériel » et « sur le plan moral, il faut pouvoir démontrer que cette jeune femme avait l’intention d’appeler au meurtre« . Étienne Manteaux ajoute : « Il y a deux sens, deux visions possibles. À la lecture de cette procédure, il m’apparaît donc impossible de démontrer positivement que c’est celle de l’appel au meurtre qui a animé cette jeune femme, même si certains l’ont perçu comme tel ».

L’interprétation du Talmud est toujours une affaire complexe.

Il faut faire confiance aux rabbins de la république pour trancher.

« Il y a deux sens, deux visions possibles. À la lecture de cette procédure, il m’apparaît donc impossible de démontrer positivement que c’est celle de l’appel au meurtre qui a animé cette jeune femme, même si certains l’ont perçu comme tel »

Le slogan « un flic, une balle » est évidemment un appel à assassiner des fonctionnaires de police.

Prétendre l’inverse est d’une mauvaise foi grotesque.

C’est dommage que nous n’ayons pas de juges d’extrême-droite pour couper les cheveux en quatre à notre profit et se foutre de la gueule de la gauche aussi ouvertement.

L’étudiante a, de son côté, expliqué vouloir signifier que « les policiers armés étaient susceptibles de représenter un danger pour la société ». « Ce sont les armes qui me posent problème. Elles me font peur. Et encore plus quand il y a une personne derrière », a-t-elle déclaré. Elle a également exprimé ses regrets, indiquant avoir été « dépassée » par ses mots.

Le magistrat a finalement décidé d’imposer à la jeune femme « l’exécution d’un travail non rémunéré pour une durée de 30 heures, dans le cadre d’une composition pénale », en raison de sa participation à la manifestation avec le visage masqué.

C’est le propre du dédoublement de la personnalité gauchiste. Vous verrez typiquement un gauchiste dénoncer les « violences policières » tout en appelant à assassiner des flics. Vous les verrez hurler à la violence fasciste et organiser des milices « antifas ». Vous les verrez pleurnicher à propos des « contrôles au faciès » et fantasmer sur les émeutes raciales les plus sauvages.

Dans leur esprit dérangé, il n’y a là aucune contradiction.

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L’extrême-gauche est comme une femme hystérique : violente et incapable d’assumer le principe de responsabilité. Elle se victimise et s’identifie à n’importe qui peut faire la peau de son ex. Seule sa violence manipulatrice est légitime, celle de ceux qui se défendent est maléfique.

Avec les gauchistes, face ils gagnent, pile vous perdez. Soit vous vous laissez abuser, soit ils vous harcèlent en vous accusant de harcèlement.

L’extrême-gauche est l’égout de sociopathes qui rationalisent leurs tares antisociales sous un vernis politique. Ce sont habituellement des drogués. Ils ont aussi de sérieux problèmes sexuels et mentaux. C’est plus valorisant pour eux de semer le chaos en prétendant agir pour le bien de l’humanité contre des oppresseurs imaginaires que d’admettre qu’ils sont mentalement dysfonctionnels.

Les sociopathes que sont les gauchistes bâtissent là dessus des théories dont la trame est invariable : les autres sont responsables de leurs échecs personnels. Pour faire masse et régler leurs comptes, ils s’associent par principe à tous les ratés, surtout les criminels et les asociaux violents d’origine immigrée.

Leur désordre mental est généralement associé à la bipolarité, à la mégalomanie et à la schizophrénie, ce qui prend chez eux la forme du complexe du sauveur. Tous les groupes qu’ils manipulent ne sont que des faire-valoir dans leur stratégie de vengeance égotique.

Les communiqués des antifas sont caractéristiques. Ils ressemblent davantage à des histoires d’heroic fantasy pour gamins de 12 ou 13 ans qu’à des communiqués politiques. Leur facture est grandiloquente, frappée de mythomanie et ils décrivent en termes souvent naïfs un combat contre ce qui ressemble davantage à des personnages de dessins animés qu’à des opposants politiques.

Au plan du morphotype, le sociopathe de gauche conserve une tête d’étudiant bien après 40 ans.

Le cadre psychique de la France depuis 1789 étant à gauche, avec un régime consacré par la violence de rue et l’exécution du chef de l’état, ces éléments bourgeois-anarchistes sont validés par toutes les élites et les institutions. Le système ne leur reproche pas la nature de leur engagement, mais son degré. Ils sont perçus comme des idéalistes, certes un peu trop violents, mais moralement irréprochables. 

Il n’y a rien de plus confortable que d’être un révolutionnaire de gauche en France, parce qu’il n’y a rien à renverser quant aux présupposés fondamentaux du système. Les plateaux sont pleins de ces rebelles qui ne risquent rien. Leur fonction n’est pas de renverser le système, mais de le protéger en réactivant sans cesse l’égalitarisme et le cosmopolitisme dont il procède.

L’extrême-gauche en France est une force conservatrice du régime en place qui le radicalise en temps de crise.

Pendant ce temps-là, dans la vie réelle, les seules manifestations interdites sont celles des autochtones qu’ils décrivent comme d’extrême-droite, la seule force réellement révolutionnaire, c’est-à-dire de rupture avec les principes fondamentaux du système.

Les seuls médias réprimés par l’État sont ceux qualifiés d’extrême-droite.

Les seuls personnes qui vont en prison pour leurs écrits sont d’extrême-droite.

Ce deux poids, deux mesures est la règle. À chaque crise, les marxistes et les bourgeois se retrouvent toujours contre les fascistes.

Et puisque les gauchistes projettent toujours sur autrui leurs propres agissements par incapacité à assumer, ils affirment contre la réalité que les bourgeois et les fascistes s’allient toujours contre eux en temps de crise.

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