Un premier héros anti JO arrêté par le régime homo-sidaïque de Macron

La Rédaction
Démocratie Participative
29 juillet 2024

 

Quelque chose me dit que ces quelques militants d’ultra-gauche ne vont plus bénéficier de la sympathie de la gauche.

La veille des Jeux Olympiques, la gauche était déterminée à les perturber tant que Macron ne nommerait pas un premier ministre issu du Nouveau Front Populaire.

C’est à cet effet que l’ultra-gauche a mené une opération coordonnée contre la SNCF, vraisemblablement avec le concours d’agents affiliés à la CGT.

Mais ça, c’était avant la cérémonie turbo-LGBT, pro-remplacement, ultra-marxiste de Thomas Jolly.

À présent que ces JO sont placés sous l’angle de la sodomie et que les fachos sont mécontents, la gauche adore les JO de Bernard Arnault.

En France, il n’y a pas de gauche révolutionnaire.

S’ils sont 3,000, c’est le Pérou.

Ou Cuba, plutôt.

À la place, nous avons des gras du cul bisexuels de la fonction publique ou intermittents du spectacle en vacances perpétuelles.

C’est ça, la « gauche » française.

Il en faut peu pour faire rentrer les gauchistes au bercail de la démocratie bourgeoise.

Quelques bidules pédés et nègres et c’est réglé.

L’imaginaire du gauchiste occidental est gouverné par cette idée simple : se faire enculer par un nègre.

C’est son horizon.

Sa négation, c’est l’humanité masculine blanche, assimilée à la barbarie la plus pure.

Si le nègre est le progrès, le slave, qui a remplacé le germain, est la régression.

Au terme de cette involution de la notion de civilisation, le dernier carré de la race blanche, probablement à l’indignation de Vladimir Poutine, est l’homme russe, brute slave imaginaire montrant encore des signes de refus catégoriques de soumission aux pédés.

Qui pourrait priver les fiottes occidentales de leurs « jeux » giga LGBT, sinon ces hordes slaves ?

J’observe d’ailleurs que l’extrême-droite démocratique incarnée par l’affreuse Marine Le Pen ne se voit d’autre rôle que celui de gourdin de la bourgeoisie.

Quand quelques braves de l’ultra-gauche se lèvent pour essayer d’enrayer le supplice, l’atroce morue apparaît, vociférante.

C’est la critique que lui adresse l’extrême-gauche d’ordinaire, qui n’est que l’autre extrémité du même gourdin, celui dont nous avons tous ressenti les coups lors de cette « cérémonie ».

La Le Pen a observé un silence tout de respect face aux énormes provocations du pédé mélenchoniste Thomas Jolly.

Et pour cause, cette femme affreuse est entourée de pédés.

Steeve Briois, Philippe Tanguy et tous les autres avaleurs de sperme.

Son compte Twitter n’est qu’un bot qui commente poliment les « médailles » de la France officielle de Macron.

Même Mélenchon a eu plus de courage, ou du moins, plus de sens politique en flattant implicitement les musulmans.

Extrême-droite et extrême-gauche démocratiques sont au moins d’accord sur une chose : la sacralité des rectums et le respect de l’ordre bourgeois dégénéré.

Qui aurait cru que l’anus à vif des pédés aurait été le ciment de la réconciliation nationale ?

Je le dis et le répète, rien, dans cette république, n’est à sauver.

Aucun de ses partis.

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