Zelensky refuse de déclencher une nouvelle offensive sans nouvelles livraisons d’armes

La rédaction
Démocratie Participative
26 mars 2023

 

Il faut payer, goyim.

Sinon, pas de golems hachés au menu.

BBC :

Le président Volodymyr Zelensky a déclaré que la contre-offensive de l’Ukraine contre la Russie ne pouvait pas commencer tant que les alliés occidentaux n’enverraient pas davantage de soutien militaire.

Il a déclaré à un journal japonais qu’il n’enverrait pas ses troupes sur la ligne de front sans davantage de chars, d’artillerie et de lance-roquettes Himars.

Dans une interview accordée au Yomiuri Shimbun, il a déclaré que la situation dans l’est de l’Ukraine n’était « pas bonne ».

Impossible.

L’Ukraine a gagné la guerre.

« Nous attendons l’arrivée des munitions de nos partenaires », a-t-il déclaré.

Où sont les munitions, voleurs ?

Que voulez-vous que les Ukrainiens fassent avec à peine 60 milliards d’euros d’aide militaire en un an ?

Il faut payer maintenant.

Interrogé sur la contre-offensive attendue, il a répondu : « Nous ne pouvons pas encore commencer, nous ne pouvons pas envoyer nos braves soldats sur la ligne de front sans chars, artillerie et roquettes à longue portée. »

Il a ajouté : « Si vous avez la volonté politique, vous pouvez trouver un moyen de nous aider. Nous sommes en guerre et nous ne pouvons pas attendre ».

Zelensky est catégorique : pas de cash, pas de golems sacrifiés.

Depuis quelques semaines, il est question que l’Ukraine lance une offensive de printemps contre les forces russes. Des commandants ukrainiens ont laissé entendre qu’elle pourrait être imminente. Oleksandr Syrskyi, commandant des forces terrestres ukrainiennes, a déclaré cette semaine qu’elle pourrait avoir lieu « très bientôt ».

Certains analystes estiment que les militaires ukrainiens évoquent l’idée d’une contre-offensive pour déconcerter leurs homologues russes. Ils souhaitent que les commandants russes répartissent leurs forces le long des lignes de front, prêtes à faire face à toute attaque, plutôt que de les concentrer dans des endroits particuliers, tels que la ville de Bakhmut, dans l’est du pays.

D’autres analystes estiment qu’une contre-offensive est possible à brève échéance. La semaine dernière, un groupe de réflexion basé aux États-Unis, l’Institute for the Study of War, a suggéré que l’offensive de la Russie risquait de perdre de son élan et a conclu : « L’Ukraine est donc bien placée pour reprendre l’initiative et lancer des contre-offensives dans des secteurs critiques de la ligne de front actuelle. »

Mais le président Zelensky est plus pessimiste. Il a souvent prévenu que la guerre pourrait s’éterniser pendant des années si les alliés occidentaux n’accéléraient pas la livraison des armes. Mais c’est la première fois qu’il déclare que la contre-offensive elle-même pourrait être retardée par le manque d’équipement occidental.

Ses remarques reflètent non seulement son désir d’encourager une plus grande rapidité, mais aussi sa frustration face à ce qu’il considère comme un manque d’empressement.

Cet institut néo-conservateur a une particularité : il est présidé par la juive Kimberly Kagan.

Cette juive est la femme du juif Frédérick Kagan (Kahan, Kahn, Cohn, Cohen).

Frederick Kagan est le frère de Robert Kagan.

Le père de Frederick et Robert Kagan est le juif de Lituanie Donald Kagan, un des fondateurs du « Projet pour un Nouveau Siècle Américain » qui a théorisé et organisé les attentats du 11 septembre 2001.

Le juif Paul Wolfowitz y a aussi joué un rôle majeur.

La communauté juive est petite.

Robert Kagan est le mari de la juive d’Ukraine Victoria Nuland, numéro 2 du ministère des Affaires Étrangères américain après le juif Anthony Blinken, également un juif d’Ukraine. La guerre en Ukraine est son projet depuis le premier jour.

Ce sont ces hébreux qui sont derrière cet « Institute for the Study of War » qui alimente la presse juive avec sa propagande.

Un cas récent sur BFMTV présenté par le journaliste juif Robin Verner :

L’internationale juive ne dort pas.

Après avoir établi leur effroyable dictature raciale sur la Russie en 1918, la juiverie ne digère toujours pas d’en avoir été évincée.

Les mêmes juifs qui ont génocidé l’Ukraine dans les années 1930, sont ceux qui l’arment aujourd’hui pour prendre d’assaut Moscou et y rétablir un potentat hébraïque.

Cette campagne de désinformation à propos d’une « offensive de l’armée ukrainienne » est un effort concerté des juifs pour extorquer encore davantage d’argent à la plèbe occidentale. Le juif Zelensky est chargée par ses congénères de présenter la facture.

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