Zelensky sera à l’Assemblée « Nationale » pour annoncer aux goyim leur mort prochaine en Ukraine

La Rédaction
Démocratie Participative
05 juin 2024

Demain, Macron annoncera l’entrée en guerre de la France contre la Russie en Ukraine.

Il a invité Zelensky pour le confirmer à l’Assemblée ex-nationale.

BFMTV :

Plus deux ans après s’être exprimé en visioconférence, le président ukrainien va se déplacer ce vendredi 7 juin dans l’hémicycle pour y prononcer une allocution.

À l’occasion de son déplacement en France pour les commémorations du Débarquement, Volodymyr Zelensky va prononcer un discours ce vendredi 7 juin dans l’Assemblée nationale, a annoncé ce mardi la présidente du Palais Bourbon dans un communiqué.

Il sera accueilli « dans le droit fil de sa mobilisation jusqu’ici » dès 9h30 par Yaël Braun-Pivet et prononcera une allocution d’environ 20 minutes à 9h50, selon cette même source.

Quel enfer.

Ces juifs sont all in.

Ce discours sera prononcé en marge d’une visite en France où il doit rencontrer Emmanuel Macron pour parler des besoins de l’Ukraine.

« Alors que les frappes russes ne cessent de s’intensifier sur le front et sur les infrastructures énergétiques, les deux présidents évoqueront la situation sur le terrain ainsi que les besoins de l’Ukraine », dans le « prolongement de la Conférence de soutien à l’Ukraine qui s’est tenue à l’Élysée le 26 février », est-il précisé.

Emmanuel Macron avait alors annoncé des mesures pour fournir plus d’armes à Kiev et n’avait pas exclu l’envoi de soldats en Ukraine, suscitant la controverse parmi ses alliés ainsi que la colère de la Russie.

Il a promis de nouvelles annonces à l’occasion de la visite vendredi de Volodymyr Zelensky à Paris, alors que des discussions sont en cours sur l’envoi d’instructeurs militaires français en Ukraine.

Le projet d’une coalition européenne d’instructeurs pour former les troupes ukrainiennes en Ukraine, souhaité par la France, est discuté entre Européens mais apparaît loin d’être finalisé, de nombreux pays s’interrogeant sur le risque de représailles russes.

La Russie, qui revendique des avancées constantes ces dernières semaines dans l’est et le nord-est de l’Ukraine, a dit mardi ne pas exclure que ses forces puissent frapper les instructeurs français sur le sol ukrainien. Elle affirme par ailleurs qu’ils sont déjà présents sur place.

Le président ukrainien, qui sera accueilli par le ministre des Armées Sébastien Lecornu avec les honneurs militaires vendredi matin aux Invalides, visitera également avec lui un site du groupe d’armement franco-allemand KNDS à Versailles, près de Paris.

KNDS, un des principaux acteurs européens de l’armement terrestre – il fabrique des chars de combat, des systèmes d’artillerie ainsi que les canons Caesar que la France livre à Kiev – va s’installer en Ukraine.

Le choix du 6 juin pour les 80 ans du débarquement des troupes judéo-américaines en Normandie n’est pas fortuit. Pour les juifs, il s’agit de signifier que l’action entreprise lors des deux dernières guerres mondiales pour conquérir l’Europe, et par voie de conséquence le monde, doit être conclue de manière décisive contre la Russie en Ukraine.

La Seconde Guerre Mondiale n’est pas terminée. Que les Russes se considèrent comme les héritiers de l’URSS ou non, pour les juifs ils ne sont que ceux d’Adolf Hitler.

Tôt ou tard, nous allons voir des scènes comme ça dans les rues françaises.

Mobilisation forcée à Dnipro dans la région natale de Zelensky en Ukraine. Le nombre quotidien de ces vidéos de mobilisation forcée dans différentes régions d’Ukraine a considérablement augmenté après l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur la mobilisation il y a deux semaines. Ceux qui veulent se battre jusqu’au dernier Ukrainien ne se portent pas volontaires pour se battre eux-mêmes.

Nous aurons l’occasion de voir la Gendarmerie française briller. Les bourres n’aiment rien tant que de coller leurs flingues dans le dos du peuple pour l’envoyer au front pour les juifs.

Pour l’édification des naïfs, revenons sur les faits.

Gendarmerie :

L’état de siège conduit les brigades à approfondir certaines de leurs attributions du temps de paix. Elles développèrent la pratique du renseignement sur l’opinion publique et le moral des populations, mais aussi des enquêtes à caractère économique, afin de prévenir les pénuries et de lutter contre le marché noir. Elles firent aussi face à une recrudescence du braconnage, la chasse étant interdite jusqu’à la fin 1916.

D’autres missions spécifiques à la guerre furent organisées ex nihilo, comme la surveillance extérieure des camps de prisonniers, la protection des frontières et surtout la traque des déserteurs, estimés à plus de 80 000 au fil du conflit et parfois organisés en maquis.

Alors que plusieurs gendarmes furent agressés par des soldats tentant de passer les Pyrénées ou les Alpes, d’autres essuyèrent le feu de déserteurs regroupés et armés, surtout en Corse, en région parisienne et dans le Massif central où la gendarmerie se heurta également à la complicité des populations.

En 1920, la gendarmerie publia le chiffre de 66 678 arrestations de déserteurs à l’intérieur entre 1914 et 1918. Certes, elle ne put totalement arrêter le flot. Tout juste l’endigua-t-elle. Mais, quelle que fut la faiblesse de ses moyens, la peur du gendarme fonctionna.

Sales vaches.

Pour autant, dans une société rurale en quête de sécurité et de protection, la gendarmerie en tant qu’ « armée de l’intérieur » bénéficia d’une image globalement positive auprès des civils. Une perception bien éloignée de ce que vécurent les soldats partis au front. Et pour cause, la mission principale des gendarmes prévôtaux de la Grande Guerre fut, comme le rappelle l’ordre célèbre du général Eydoux, de « maintenir les hommes sur la ligne de feu et forcer, au besoin leur obéissance ».

Au total, pour au moins 1,3 million de tués entre 1914 et 1918, la Gendarmerie perdit moins de 900 hommes durant tout le conflit.

Tous les soldats haïssaient cette engeance et à raison. Militaires ratés dans l’âme, ils en surjouent les codes et l’autoritarisme. Rien de plus infect qu’un officier supérieur de gendarmerie, rien de plus servile et cassant à la fois, selon qu’il a face à lui un subordonné ou un supérieur.

Il faudra bien trouver de la viande à expédier au front quand les choses sérieuses auront lieu et les vocations spontanées seront rares. Les membres de cette méchante organisation, maçonnique du sol au plafond, savent exactement leur rôle et surtout que la condition de leur planque est de traquer avec zèle tous ceux qui refuseraient de mourir pour les juifs et leur république.

Le but n’est pas seulement de combattre la Russie, mais aussi de parachever la destruction des derniers hommes blancs qui tiennent encore vaguement debout en France. Il en va de même dans les autres pays européens.

Chaque guerre mondiale a été une effroyable entreprise dysgénique qui a abouti à l’extermination des meilleurs hommes. Après deux guerres mondiales et quelques guerres de décolonisation, une nouvelle guerre mondiale achèverait la race gauloise une fois pour toutes. Alors, dans la foulée, les juifs importeront infiniment plus de métèques qu’actuellement, dans des proportions bibliques.

Il ne faut pas douter un instant du fait que ce seront bien les Blancs qui seront mobilisés et les races de boue méthodiquement exemptées de cent façons et flics et gendarmes seront l’instrument de cette politique génocidaire.

Sur ce coup-là, il faudra être avec l’extrême-gauche et dire « ACAB! ».

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